JARDINAGE

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Vue sur mon potager-juin 2012
fleurs
Jachère fleurie de mon jardin juin 2012

Comment neutraliser un début de mildiou sur les tomates

 

En juillet de cette année 2012, les conditions météorologiques particulières et aléatoires (pluviométrie et humidité fréquentes associées à des variations de température brutales) ont conduit à l’apparition, sur mes pieds de tomates (feuilles, tiges et fruits) de cette maladie tellement redoutée des jardiniers qu’est le mildiou. On sait que, faute de réagir immédiatement et efficacement, la maladie se généralise très rapidement et les pieds de tomates sont alors irrémédiablement perdus.

Que faire pour sauver les tomates ?

En ce qui me concerne, voila comment j’ai procédé :

1°) Avec un cutter, pour une coupe franche permettant une cicatrisation rapide et « propre », j’ai enlevé, dès le début de l’apparition de cette maladie cryptogamique, toutes les parties atteintes (feuilles, tiges, fruits), en n’hésitant pas à aller au-delà des zones noircies caractéristiques du mildiou, jusqu’à la ramification la plus proche ;

2°) J’ai pulvérisé une solution de bouillie bordelaise, à raison de 20g par litre, et de décoction de prêle, sur les pieds de tomate en veillant à bien les enrober jusqu’au niveau du sol. J’ai utilisé environ 0.8 litre de solution par pied, de telle sorte que la plante soit rigoureusement recouverte (feuilles, fruits, tiges) et qu’elle le reste suffisamment après le passage des prochaines pluies ;

3°) J’ai sollicité l’aide des Esprits de la Nature et, en particulier, du Deva de la tomate ;

4°) J’ai surveillé régulièrement les tomates pour m’assurer que la maladie ne réapparaissait pas. En dépit du soin que j’avais apporté à la détection du mildiou, j’ai du enlever ultérieurement quelques autres parties touchées qui avaient, sans doute, échappé à ma vigilance initiale.

Le résultat a été formidable : succès complet, très bonne récolte, pas de réapparition de la maladie, alors que, dans mon secteur, çà a été l’hécatombe des tomates pour la quasi-totalité des jardiniers.

Ceci dit, et bien qu’y figure la mention « peut être utilisée en culture biologique », la bouillie bordelaise est un produit à base de sulfate de cuivre et de chaux et qui, par conséquent, doit avoir quelques effets sur l’environnement et la santé, même si ceux-ci sont jugés bénins voire négligeables. Mais je crois qu’il faut, en certaines circonstances et nécessités, agir avec bon sens et savoir éviter le pire, en l’occurrence, le ravage inéluctable de la récolte de tomates.

Je rappelle, par ailleurs, (voir autre article dans cette rubrique) qu’il est conseillé, pour prévenir ou retarder les maladies) , de placer , au moment de leur plantation, les pieds de tomates sur un lit d’orties fraîchement coupées, ce qui a pour effet de les rendre plus résistantes et plus viriles.

Tâches noires sur tomates, caractéristiques du mildiou
Tâches noires sur tomates, caractéristiques du mildiou
Liseron
Liseron

Le liseron : une herbe difficile à éradiquer dans un jardin

 

Pour un jardinier, le liseron constitue une « mauvaise herbe » difficile à éliminer : une fois installée, elle pousse avec une extrême vitalité. Sa racine est d’une longueur qui paraît infinie et dont les extrémités sont pratiquement inaccessibles, si bien qu’on a beau l’enlever, en allant aussi loin que possible dans le sol, le liseron réapparaît très vite, surtout si le terrain est argileux. Etant jardinier bio, je n’utilise pas les traitements chimiques du commerce pour venir à bout de cette « mauvaise herbe » et, d’ailleurs, à ma connaissance, ils ne sont pas durablement efficaces. Alors que faire, car il s’agit d’un végétal particulièrement gênant pour les cultures ?

Tout d’abord, je tiens à dire que l’apparition, dans un jardin (ou dans un champ), de « mauvaises herbes » est un signal de carences du sol et une tentative naturelle de rééquilibrage. La « mauvaise herbe », qui s’installe spontanément, apportera au sol ses composants chimiques, sous forme d’humus, ceci à condition qu’elle ne soit pas enlevée prématurément par l’homme. Ce processus naturel est évidemment assez long puisqu’il demande, au minimum, une année mais, en général, bien davantage ; il prend fin lorsque la terre s’est ainsi équilibrée : la « mauvaise herbe » disparaît alors d’elle-même. Le jardinier étant, par nature, interventionniste ne peut se soumettre à ce processus naturel qui correspond, en fait, à une mise en jachère prolongée.

Là encore, comme dans bien d’autres domaines, la radiesthésie vient au secours du jardinier-radiesthésiste en lui permettant de faire une analyse chimique de la « mauvaise herbe », en l’occurrence le liseron, de manière à déterminer ses principaux composants (une analyse de ce type ne saurait être confiée à un laboratoire car le coût serait, sans doute, exorbitant). Ayant procédé à celle-ci, il ressort que le liseron a une très forte teneur en bore (symbole chimique : B). Le bore est un métalloïde trivalent et est l’un des 7 principaux composants des plantes ; notamment, les légumes-feuilles, tels les laitues, les choux, les céleris, les poireaux, ainsi que les légumineuses sont riches en bore. On le trouve dans les sols sous forme de borax, acide borique, colémanite, kernite, borate,…Avec le pendule, on vérifie que la zone de jardin où poussent des liserons est bien carencée en bore (ce « pendulage » peut être effectué de différentes façons et même sur plan) et que le liseron est effectivement présent pour apporter ce bore au sol.

Il suffit ensuite d’acheter de l’acide borique : on le trouve en pharmacie ou en droguerie (pas dans toutes ces officines) puis de le répandre, dilué dans de l’eau, sur le sol à traiter, en ayant préalablement enlevé les liserons. Pour le dosage, là-encore, il convient de penduler pour le déterminer car il est fonction de l’importance de la carence. Il se situe généralement entre 5 et 10g par m². Voilà, c’est simple et peu coûteux (de l’ordre de 3€) mais terriblement efficace ! Un conseil : faites bien attention au dosage car il est capital. Une concentration trop forte ou trop faible en bore est nuisible aux végétaux ; c’est pourquoi une recherche au pendule est indispensable car c’est le seul moyen pour déterminer, avec précision, le dosage.

Ce procédé n’est évidemment pas spécifique à l’éradication du liseron. Pour toute « mauvaise herbe », vous pouvez utiliser la même méthode radiesthésique :

-identification de la (ou des) principale(s) carence(s) du sol ;

-dosage des éléments à apporter pour rééquilibrer le sol ;

-enlèvement des « mauvaises herbes » ;

-épandage du(ou des) produit(s).

Cadran radiesthésique

Voici le cadran radiesthésique que j'ai créé pour identifier les carences d'un sol : il comporte, à gauche, les composants majeurs des végétaux et, à droite, les oligo-éléments qui entrent dans sa composition.

Quel terreau choisir ?

 

Quand nous allons dans une jardinerie ou dans le rayon « jardin » d’une grande surface pour acheter un terreau, nous trouvons toute une gamme de produits aux dénominations plus ou moins explicites. Récemment, je suis allé acheter quelques sacs de terreau dans une jardinerie et j’ai été accosté par une personne qui ne savait pas quel terreau choisir et qui m’a demandé conseil. En discutant avec des personnes qui venaient d’acheter un terreau, je me suis rendu compte qu’elles avaient fait leur choix en se méprenant complètement sur le sens de la dénomination des produits en question. D’où ce petit article pour bien préciser les choses.

Voyons d’abord les différents composants que l’on peut trouver dans un terreau et leur intérêt, sachant que l’indication des composants est obligatoire sur les sacs :

-la tourbe blonde ou (et) brune : elle allège le terreau, retient l’eau et l’air ainsi que les éléments nutritifs. C’est un composant basique indispensable. Attention toutefois à sa proportion !

-les fibres de bois : elles contribuent à alléger le produit mais leur proportion ne doit pas excéder 20%.

-le compost d’écorces de résineux et le compost de différentes matières végétales : est essentiellement destiné à améliorer l’aération du terreau pour faciliter le développement des racines ; son rôle est donc important.

-l’argile : a un pouvoir régulateur de l’eau vers les plantes.

-La perlite et la vermiculite : leur rôle est d’alléger et d’aérer le terreau.

-le sable : présent dans certains terreaux, en particulier celui qui est spécifique aux cactées et aux plantes grasses, pour améliorer le drainage.

-le fumier ou les algues : pour enrichir le terreau.

-des engrais à effet retardé : je déconseille de prendre des terreaux ayant ce type de composant car ce sont des produits chimiques et, de plus, ils peuvent s’avérer nuisibles au démarrage des semis.

Passons maintenant en revue les différents terreaux qui sont proposés à la vente :

-le terreau universel : contrairement à ce que sa dénomination pourrait faire penser, ce n’est pas un terreau qui convient pour tout. Le terreau universel est, en fait, un terreau basique, le plus pauvre, le moins élaboré et donc, en principe, le moins cher. Son usage est, en conséquence, limité.

-le terreau horticole : c’est un produit polyvalent qui peut être utilisé partout, aussi bien pour les semis, les plantations que comme adjuvant aux sols argileux pour les alléger et aux sols sableux pour leur donner plus de consistance. Outre de la tourbe et des écorces de bois, il comprend souvent du fumier ou des algues.

-le terreau de feuilles : fait partie des terreaux universels mais est élaboré à partir de feuilles mortes, ce qui le rend acide. Il est donc à réserver aux plantes dites de « terre de bruyère » comme les hortensias, les azalées, les rhododendrons.

-le terreau géranium : c’est, très souvent, un terreau horticole comprenant un engrais géranium.

Je n’évoquerais pas, ici, les terreaux spécifiques comme les terreaux pour cactées et plantes grasses ou les terreaux pour orchidées qui ne prêtent pas à confusion concernant les plantes auxquelles ils sont destinés.

Il y a aussi un grand nombre de dénominations qui varient selon les fabricants : terreau pour semis, terreau pour plantation, terreau méditerranéen, etc. C’est donc un peu la jungle et le profane a du mal à s’y retrouver…

Il faut également souligner le fait que, selon la marque du terreau, pour une même dénomination, le produit fourni n’est pas de qualité similaire. C’est pourquoi il est important de regarder la composition du terreau mentionnée sur le sac.

Certains terreaux bon marché contiennent une proportion de fibres de bois bien trop grande.

J’espère que cet article contribuera à éclairer un peu la question.

terreau

Petits conseils pour les semis

 

Les semis exigent quelques précautions qui ne sont pas toujours observées. En voici quelques-unes :

-certaines graines ont du mal à germer. Pour accélérer la germination, on peut mettre les graines de plantes vivaces dans un bocal fermé que l’on placera dans un réfrigérateur pendant 1 ou 2 semaines ; pour les plantes annuelles (les légumineuses en particulier), on peut mettre les graines à tremper dans de l’eau tiède pendant 2 jours ou bien on peut les arroser avec de l’eau à laquelle on aura adjoint de la chaux 6 heures avant le semis.

-Il est fortement déconseillé d’arroser un semis avant sa levée ; pour éviter la déshydratation, il suffit de couvrir la terre avec un peu de fumier ou avec de la mousse voire avec un voile de forçage pour les plus grandes surfaces.

-les noyaux de fruits doivent être stratifiés durant l’hiver pour pouvoir germer facilement. Pour cela, il suffit d’enterrer les noyaux, au cours de l’automne, dans des pots de terre remplis de sable humide et recouverts d’une plaque de verre. On les récupère à la fin de l’hiver pour les planter.

-Les graines très fines, comme celles des carottes, doivent, avant d’être semées, mélangées avec du sable, de la cendre ou du marc de café(bien sec) de manière à ce que les graines soient bien réparties et surtout que le semis ne soit pas trop dense. Il ne faut surtout pas recouvrir ces graines.

Dispositif pour améliorer la prolifération des micro-organismes dans le sol

 

Dans un article intitulé « Comment cultiver les tomates ? Comment éviter qu’elles soient malades ? », je vous ai indiqué les dispositions que je prends, à la plantation (Vous pouvez retrouver cet article, dans cette même rubrique), pour la culture des tomates.

Je viens d’améliorer cette technique en lui ajoutant le dispositif suivant : dans la tranchée préparée, je dispose, au fond de celle-ci, des tiges en cuivre de 12mm de Ø, sur toute la longueur à planter. L’intérêt de ces tiges métalliques est de mettre en application l’un des principes de l’électroculture (voir, à ce sujet, mon article intitulé « Electroculture, magnétoculture et Cie… », dans cette même rubrique) : par ce moyen, on concentre l’électricité tellurique dans la zone de culture et, ce faisant, on provoque la prolifération des micro-organismes qui ont une action de régénération structurante et anti-oxydante et qui sont donc extrêmement bénéfiques au Vivant et à la vie du sol, en particulier.

Bien entendu, cette méthode n’est pas spécifique à la culture des tomates. Elle peut être utilisée pour toutes les plantes du jardin.

Un autre métal que le cuivre peut être employé mais il faut qu’il soit très bon conducteur.

micro-organismes

Une nouvelle expérience d’utilisation des coquilles Saint-Jacques au potager et au verger

 

Dans un article intitulé « Expérience d’utilisation des coquilles Saint-Jacques en jardinage », je vous avais fait part, en juin 2009, d’un essai de revitalisation de haricots verts avec des coquilles Saint-Jacques. Je vous invite à vous reporter à celui-ci pour les explications m’ayant conduit à ce test.

Voici une nouvelle expérience de recours à ces coquilles, plus perfectionnée et encore plus efficiente que la précédente.

On pose la coquille, à proximité du végétal sur lequel on veut intervenir, en orientant sa face convexe vers la base de celui-ci et en direction du nord magnétique, puis on enfonce légèrement la coquille par sa charnière selon un angle de 45° (voir photos ci-dessous).

Ce dispositif permet d’obtenir un rayonnement d’ondes très positives vers le végétal, de manière à le fortifier, ce qui lui permet d’être plus résistant aux maladies et aux agressions des insectes, d’assurer une meilleure production tant en qualité qu’en quantité.

Si vous n’êtes pas convaincu-le scepticisme est normal-, faites cette expérience, par exemple, sur des pieds de tomates, en mettant 1 pied sur 2 sous l’influence d’une coquille Saint-Jacques, puis comparez les résultats.

Sachez aussi que vous pouvez « traiter » un point géopathogène (par exemple à l’emplacement d’une fourmilière), dans un jardin, en posant, à cet endroit, une coquille Saint-Jacques, face concave vers le sol, en l’orientant au nord magnétique.

Coquille Saint-Jacques face à un pied de tomate
Coquille Saint-Jacques face à un pied de tomate
Coquille Saint-Jacques au pied d'un pommier
Coquille Saint-Jacques au pied d'un pommier

Electroculture, magnétoculture  et Cie...

Dans un autre article (ci-dessous), j’ai présenté brièvement quelques dispositifs faisant appel aux circuits oscillants simples (travaux de Lakhovsky), pour le jardinage ou les plantes en pot. Ceux-ci fonctionnent grâce aux énergies qui sont captées puis diffusées. Ils sont les précurseurs d’une discipline qui commence à se perfectionner et à se développer et qui est celle de l’électroculture et de son dérivé, la magnétoculture. Les techniques qui sont employées utilisent les courants électriques atmosphériques et telluriques ainsi que les rayonnements cosmiques et le champ magnétique terrestre. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’électroculture n’est pas une découverte récente mais plutôt une redécouverte d’une science déjà connue et appliquée dans l’Antiquité. C’est à partir du XVIIIème siècle que des chercheurs ont entrepris des expériences et essais reprenant l’idée d’utiliser les phénomènes astrophysiques, géologiques, électrochimiques et biologiques pour la croissance et le bien être des végétaux, et le 1er congrès sur l’électroculture s’est tenu à Reims, en 1912. Pourtant, aujourd’hui encore, cette discipline reste relativement méconnue alors qu’elle est très prometteuse.

Le présent article ne va pas faire un exposé sur l’électroculture car cela conduirait inévitablement à de longues explications et à de nombreux développements. Je me contenterai ici de donner quelques « recettes » destinées aux jardiniers curieux d’expérimenter cette discipline, étant précisé que celles qui sont proposées ici n’ont pas vocation au traitement d’un jardin dans son ensemble. Mais sachez qu’il existe des dispositifs commercialisés qui permettent de mettre un jardin ou une exploitation agricole entière en électroculture (voir les liens en fin d’article).

-Améliorer la conductibilité électrique d’un sol :

       En irriguant ou en arrosant,

       En apportant des nutriments (compost, engrais naturel),

        En enfonçant des piquets métalliques dans le sol, sur les nœuds du réseau Hartmann (opération géobiologique).

-Pour la germination des graines : utiliser un aimant ou un électro-aimant et mettre les graines sous son influence ; pour les graines des  légumes-racines (radis, carottes, navets, pommes de terre,...), les exposer au pôle nord de celui-ci ; pour les légumes- feuilles (salades, ...) et les légumes-fruits (tomates, ...), les exposer à son pôle sud.

-Pour accélérer le compostage : installer dans le composteur un bout de grillage que vous relierez, par un fil électrique isolé, à une clôture métallique, ce qui aura pour effet de produire un courant électrique faible (1 à 2V) mais suffisant pour provoquer la prolifération des micro-organismes.

-Pour tonifier ou soigner une plante en pot : planter 2 fils électriques séparés dans le pot (diamétralement opposés), répandre, entre les deux, de la limaille de cuivre et de zinc, et brancher les fils électriques (électrodes) aux cosses d’une pile électrique.

-Recourir à un circuit oscillant ouvert pour un végétal extérieur: entourer la plante avec le circuit à 42 cm du sol (ou un multiple), le soutenir avec 3 piquets en bois ou en plastique, lui donner un angle d’inclinaison de 23 à 25° par rapport au plan horizontal. Pour construire le circuit, prendre des tubes pleins ou creux ou des câbles multifils ; leur diamètre doit être compris entre 3,5 et 6 mm. Veiller à ce que l’écartement des extrémités soit dans une relation assez précise avec le diamètre du circuit : 17 mm pour un Ø de 33,5 cm, 34 mm pour un Ø de 62 cm, 21 mm pour un Ø de 47 cm. L’ouverture du circuit doit être orientée au nord et les extrémités sont recourbées soit vers le sol, soit une vers le sol et l’autre vers le ciel.

-Pour accélérer la croissance des tomates et obtenir des tomates de bonne qualité : placer une tige ou une barre en cuivre ou d’un autre métal bon conducteur sous chaque pied de tomate, à l’horizontale. Par cette disposition, la tige ou la barre prend le maximum d’humidité, ce qui lui permet d’optimiser le rayonnement tellurique. Pour accroître encore l’efficacité du dispositif, choisir, au pendule, le bon emplacement pour chaque pied de tomate (position des réseaux et croisements telluriques).

-Installer un dispositif d’électroculture dans un carré de jardin : fabriquer une antenne métallique terminée par un cercle hérissé de pointes ou, prendre une antenne-râteau hertzienne de télé, ayant un mât d’une hauteur comprise entre 3 et 6 m, la placer au centre de la parcelle (ou mieux, déterminer l’emplacement au pendule), la relier à un fil électrique isolé en cuivre ou à un câble coaxial, faire descendre ce fil le long du mât et le relier à une tige ou une barrre en cuivre enterrée dans le sol. Ce dispositif permet de capter et de concentrer les rayonnements cosmo-telluriques.

-Bonifier une plate-bande : placer dans le sol, à plat, 2 tiges ou barres en inox,   le long de chaque bordure de la plate-bande,  1 raccordée à une clôture métallique (je suppose que le jardin est délimité par une telle clôture) et l’autre au tas de compost (disposant du dispositif indiqué ci-avant).

Voici quelques liens si vous souhaitez approfondir ce sujet et vous lancer dans l’électroculture :

http://www.magnetoculture.com/magnetoculture/Bienvenue.html

http://www.agriculturecosmotellurique.org/

http://www.ensci.com/createur-industriel/ateliers-de-projets/j-f-dingjian/projet-eleve/article/829/

 

électroculture

L'utilisation d'oscillant simple pour le soin et la protection des plantes

Le recours à un circuit oscillant simple est une solution tout-à-fait adéquate pour soigner et rétablir une plante malade ou pour protéger un végétal  de l’attaque des parasites. Pour toute information préalable sur les circuits oscillants simples, je vous renvoie à mon article intitulé "Les circuits oscillants simples(bracelets, colliers, ceintures" figurant dans la rubrique "Géobiologie").

La réalisation d’un tel circuit se fait avec un fil de cuivre ou avec un fil de fer (à déterminer au pendule), formé de 1 ou 2 spires, et selon une longueur définie au pendule (voir dessin ci-après) ; il peut être nécessaire de peindre le fil ou de l’enrouler à l’aide d’un ruban adhésif de couleur (là-encore, c’est le pendule qui permet de le savoir).

Ce dispositif agit, en outre, sur la croissance de la plante, la fait fleurir plus tôt et plus longtemps et améliore la qualité des semences.

Il est utilisé, avec profit, pour accélérer la germination des graines que l’on va semer et pour obtenir des plants plus robustes. Dans cet emploi, il faut réaliser l’oscillant avec un fil de cuivre de grosse section (diamètre à déterminer au pendule).

Un moyen intéressant pour soigner un arbre consiste à mettre en place 2 spires métalliques autour du tronc : la 1ère (spire B) part de la base du tronc, légèrement au-dessus du sol, et est enroulée, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, sensiblement jusqu’au milieu du tronc ; la 2nde (spire A) est enroulée, à partir du haut du tronc, dans le sens des aiguilles d’une montre, approximativement jusqu’au milieu de celui-ci, en veillant à ne pas toucher la 1ère spire (laisser un intervalle de 1 à 2 cm). La spire supérieure absorbe et restitue les énergies cosmiques tandis que la spire supérieure se nourrit des énergies telluriques et les restitue.

On peut utiliser un système  canalisant les mêmes énergies, pour une plante, à l’aide d’un circuit oscillant ouvert,  avec les pointes respectivement ouvertes en haut (antenne cosmique) et en bas (antenne tellurique).

La mouche du chou

 

La mouche du chou dépose ses œufs au collet de la racine. Et vous allez comprendre pourquoi. En effet, le bas de la tige et les racines du chou sont protégés par une fine couche de cambium. Le cambium est un tissu qui assure la croissance de la tige et des racines ; s’il vient à être détruit, la plante végète et meure. Or, pour se nourrir,  les larves de la mouche  s’attaquent à celui-ci et font périr le chou.

On a souvent l’habitude de planter les choux profondément, notamment pour augmenter leur surface d’enracinement et pour qu’ils soient solidement implantés. Ce faisant, un morceau de la tige qui poussait, avant la replantation, à la lumière, se trouve brusquement dans l’obscurité du sol. On crée ainsi les conditions les plus favorables pour le développement rapide des embryons de la mouche du chou.

Il faut donc éviter d’enfoncer les choux trop profondément lors de leur mise en place. En prenant cette précaution, les mouches ne viendront pas pondre leurs œufs sur les choux.

Lorsque les choux sont envahis par les mouches, il est conseillé de les traiter, dès le début de l’invasion, et ceci à 3 reprises, avec de l’infusion d’absinthe (à raison de 10 g pour 10 L d’eau) que l’on répand autour des pieds de choux, par exemple, avec une cuillère à soupe.

géobiologie
Buis

Quand la géobiologie se met au service du jardinier

A ma connaissance, peu de jardiniers font appel à la géobiologie pour mieux cultiver. Pourtant celle-ci peut apporter, dans certaines situations, une aide appréciable voire déterminante.

Je ne vais pas dresser un catalogue de tous les bienfaits qu’ils pourraient en attendre ; d’ailleurs, je n’en serais pas capable. Mais je vais donner un exemple édifiant pour attirer l’attention du lecteur et montrer que, comme dans un grand nombre de disciplines, nous avons, en général,  dans le jardinage et l’agriculture,  une vue trop limitée, trop spécialisée et trop cloisonnée des choses.

Vous avez sûrement remarqué que, dans les haies de thuyas, par exemple, il y a, souvent, des pieds qui meurent systématiquement au même endroit sans que l’on puisse déterminer pourquoi. Le fait qu’ils soient préalablement malades ne permet pas non plus d’en connaître l’origine. Vous avez aussi le cas des arbres fruitiers qui sont chétifs à un emplacement, qui ne vont jamais donner une bonne récolte et qui vont finir par mourir. Eh bien, il y a de grandes probabilités pour que ces végétaux soient placés à des endroits particulièrement géopathogènes* (nœuds du réseau Hartmann** situés à l’aplomb de cours d’eaux souterrains, de failles, de cavités, etc.). Il suffit de planter l’arbre à un autre endroit, suffisamment éloigné de la zone virulente, pour qu’il pousse normalement. Mais, pour une haie, ce n’est évidemment pas possible et, en outre, on aimerait bien ne plus avoir d’endroit malsain sur son terrain et pouvoir planter là où on en a envie (et où il y a de la place).

Un géobiologue va pouvoir vous tirer d’affaire : d’abord en vérifiant que vous êtes bien dans la situation que je viens de décrire, ensuite en apportant un remède pérenne ; celui-ci va consister, par exemple, à positionner et à orienter un menhir à l’emplacement à corriger (avec sa polarité positive dirigée vers le sol ) ; le taux vibratoire du lieu va alors progressivement augmenter à partir de ce point, de manière concentrique,  jusqu’à rendre l’ensemble de votre terrain propice à la vie et donc à la culture des végétaux. Un résultat similaire peut être obtenu en plantant, sur le nœud géopathogène, un piquet en cuivre, d’une longueur d’au moins 50 cm (avec sa polarité positive vers le sol).

Dans un jardin, il est courant que l’on ait  une zone qui soit géopathogène. Par conséquent, faire appel à un géobiologue,  pour en corriger les anomalies,  devrait être une pratique répandue. Pourtant ce n’est pas le cas actuellement et, au contraire, la connaissance et le savoir-faire de celui-ci  laissent beaucoup de gens dubitatifs…mais j’observe néanmoins  un intérêt croissant à son égard.

 

*Endroits perturbés, néfastes, s’opposant à la vie.

**Réseau invisible composé de mailles régulières, de 21 cm de largeur, qui suivent les directions géomagnétiques du globe, et constitue des sortes de « murs subtils » qui, en coupe, ont l’apparence d’une sorte de filet.

Fleurs

Découvrez les micro-organismes

Voici le dépliant de l'association EM France, reproduit avec son aimable autorisation. Pourquoi cette "publicité" ? Pour 2 raisons :

-d'abord pour introduire ce sujet de manière satisfaisante ;

-ensuite, pour le faire connaître car l'utilisation des micro-organismes me semble très prometteuse, peu chère et simple d'application.

J'essaierai ultérieurement de donner d'autres informations, notamment pratiques, pour vous permettre de vous lancer dans des expériences de jardinage (ou autres) faisant appel aux EM.

 

Qu’est ce que les micro-organismes ?

 

Les micro-organismes sont la base de vie. Dans un gramme de terre on en retrouve mille milliards.ils sont utilisées depuis longtemps pour produire de la bière, du pain, des yaourts, de la choucroute etc...

 

« On peut malheureusement constater aujourd’hui que 98% des micro-organismes sont à dominance négative (en partie due à la pollution, aux engrais chimiques, à la lutte chimique contre les parasites…) » Dr. T.Higa

 

La plupart des produits utilisés à la maison, dans l’agriculture ou l’industrie sont des oxydants puissants qui favorisent les populations microbiennes néfastes.

 

EM c’est quoi ?

 

C’est l’abréviation internationale de

« Effectives Micro-organisms »

Micro-organismes efficaces en français.

Ils ont été découverts par Monsieur Higa, docteur en agronomie et professeur d’université en horticulture à Okinawa (Japon).

Les 80 espèces de micro-organismes présents dans EM sont bénéfiques, naturels non modifiés, non pathogènes et alimentaires. Ils ont une action de régénération structurante et antioxydante.

EM est un excellent pro biotique et antioxydant qui permet une fermentation positive, favorable aux êtres vivants.

 

Les 3 champs d’actions des EM :

-la fermentation

-l’anti oxydation

-la transmission de vibrations

 

 

Les utilisations des EM !

 

Dans la maison : ajouter EM à l’eau de lavage du linge, de la vaisselle, on utilise moins de détergents. Pour assainir l’air et contre les mauvaises odeurs.

Au jardin comme pour les plantes d’appartement pour l’arrosage des plantes. Les plantes poussent plus vite, fleurissent mieux, les limaces disparaissent.

Grâce à l’EM la qualité des sols subit une transformation radicale et ils se régénèrent rapidement.

Dans l’eau EM s’attaque à toutes sortes de pollutions chimiques ou organiques (l’eau de boisson, les étangs, les lacs, le recyclage des eaux usées).

On l’emploi aussi pour le nettoyage des plages ainsi que  le traitement des déchets organiques qui se transforment en engrais de qualité.

 

 

 ‘’Association EM France’’  (loi 1901)

a pour but de promouvoir la culture et l’utilisation de

          Micro-organismes Efficaces (EM)

Solution naturelle pour nourrir l’humanité et dépolluer la planète.

 

 

L’utilisation est simple, le coût est minime, il faut seulement apprendre à se servir de ces micro-organismes de façon optimale.

 

 

 

 

Désormais l’association est en mesure de vous proposer des conférences, réunions et ateliers jardinage.

Prendre  contact avec Annie 

 Tel. : 0556652801 ou  

Courriel : asso.em@orange.fr

Forum: www.em-france.forumactif.net

Blog http:

// association-em-france.blogspot.com

 

     Association EM France

 

 

             Oui j’adhère à l’idée de l’association pour la protection  de

                l'environnement   

                Adhésion pour un an :

                Cotisation simple 15 euros

                Cotisation couple 25 euros

                 Don :

 

Règ           Règlement :

                     Espèces

                     Chèques à l’ordre de :

                        Association

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                 Nom :

                 Prénom :

 

Adr           Adresse :

 

 

Em            Email   :

Tel :

 

Si S          Signature :

 

Env           Envoyé à : Association EM France

     4, la Ribeyre

     33730 Préchac

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Philosophie :

 

Une révolution pour sauver la terre, titre du livre du professeur Teruo Higa (Japon).

 

Le message du professeur Higa dans toutes ses publications et dans ses livres est le suivant :

 

Cœxistence pacifique et prospérité pour tous.

 

 

Il explique son principe ainsi :

Il est nécessaire de prendre des mesures radicales pour survivre. Il faut changer le système actuel, la compétition doit faire place à la collaboration. Pour y parvenir il faut analyser les problèmes actuels mondiaux qui sont :

-          l’approvisionnement en nourriture

-          l’environnement

-          la santé

-          les sources d’énergie

 

Ce sont des problèmes qui nous concernent tous.

Si nous réussissons à résoudre ces grands problèmes, nous serons espérons le, les témoins d’une société où règne la paix, la sécurité et l’abondance pour tous.

 

  Association

           

     EM

 

   France

 

 Microorganismes efficaces(EM)

Une solution naturelle pour nourrir             l’humanité  et dépolluer la planète

 

 « Une révolution pour 

     sauver la terre »

       ( T.Higa)

Fruits

 

De l’importance du choix des variétés de semence et de celle de la courgette en particulier

 

Dans le jardinage, trop souvent, on n’accorde pas assez d’importance aux semences qu’on utilise. Pourtant, pour avoir des légumes de qualité, il faut, d’abord, choisir une variété de semence en fonction des critères suivants :

  -        Adaptée à la région (ne pas mettre une variété qui aime les régions chaudes dans une région à climat rigoureux) ;

  -        Adaptée au sol (argileux, sableux, calcaire, etc.) ;

  -       Fécondée avec ou sans pollinisateur ;

  -      Qualités gustatives ;

  -       Précocité ;

  -      Rendement ;

  -      Résistance aux maladies ;

  -      Issue de l’agriculture biologique ou biodynamique.

Chacun sait cela mais combien de jardiniers sont suffisamment attentifs à prendre en compte LA BONNE SEMENCE…

Pour illustrer mon propos, je vais prendre l’exemple de la courgette, légume banal s’il en est. Moi qui habite en Lorraine, j’ai constaté qu’en cette année 2009 beaucoup de jardiniers amateurs avaient eu une mauvaise récolte de courgettes et je crois que cela est dû essentiellement à la variété de semence utilisée.

En ce qui nous concerne, nous avons choisi la courgette  Dunja et notre production a été de qualité, avec un fort rendement, une production précoce et longue (produit encore au mois d’octobre). Et, cerise sur le gâteau, cette variété est très résistante à l’oïdium (maladie à laquelle sont très sensibles la plupart des variétés de courgette) : même lorsque l’oïdium commence à la toucher, vers la mi-septembre, il ne progresse pas, le pied continue de pousser et de produire normalement, au point que cela donne le sentiment que la plante n’en est pas affectée.

Ce que je viens de dire pour la courgette vaut pour tous les légumes : tomates, pommes de terre, carottes, haricots, poivrons, courges, etc. C’est la 1ère étape du jardinage, même si elle ne se fait pas au jardin, et elle est primordiale. L’expérience permet d’améliorer, au fil des années, le choix des semences pour son jardin, en prenant en compte les succès et les échecs, en essayant des variétés qui présentent les qualités qu’attend votre jardin.

Branche

Protection contre la mineuse du poireau- Bilan définitif (10 octobre 2009)

 

Pour ceux qui n’auraient pas lu mon article sur la mineuse du poireau (toujours consultable dans cette rubrique « Jardinage »), je rappelle que j’avais mis en place, à 2 reprises correspondant aux périodes de ponte des mouches, des filets de protection (filets de forçage) sur mes poireaux. Pour la 2nde période, ces filets ont été mis en place du 5 au 28/08/09 .

Constatations : les filets n’ont pas résistés durablement au vent et se sont troués, ce qui a rendu l’expérience inopérante sur la dernière semaine d’août.   Pourtant, tous les poireaux (250 pieds), sans exception,  sont sains et exempts de mineuses. L'expérience est donc concluante.

Une remarque importante : je trouve que le filet est contraignant et gênant pour les poireaux lorsqu’il fait très chaud. Cependant, j’ai été surpris de constater que ceux-ci ne semblaient pas en avoir été affectés, ce qui apporte un certain démenti à mon affirmation précédente…

Si certains d’entre vous ont tenté la même expérience, je serais intéressé d'en connaître les résultats et les faire partager. Je vous rappelle mon adresse électronique : fleurdevie57@neuf.fr.

 

 

 

La prévention contre le doryphore

 

Tout le monde connaît le doryphore et …ses méfaits sur les pommes de terre.

Personnellement, j’ai la chance d’avoir très peu souvent affaire à lui. Il se trouve que, dans la commune où j’habite, le doryphore vient rarement, je dirais même exceptionnellement, mais je ne saurais vous dire pourquoi. Cette année, sur l’are de pommes de terre que je cultive, j’ai trouvé un seul doryphore, un égaré sans doute !

Mais la plupart des jardiniers ont affaire à une invasion de ce coléoptère vorace chaque année et peu savent qu’il existe une solution préventive totalement écologique, simple et fort peu coûteuse. Elle consiste à semer, entre chaque rang de pommes de terre, du lin annuel à fleurs bleues. Il convient de veiller à ce que ce semis soit fait en même temps que celui des tubercules de pomme de terre car il faut bien comprendre que cette prévention résulte de l’action répulsive du lin (sa toxicité) sur le doryphore ; par conséquent, il faut que le lin soit poussé lorsque les pommes de terre sont susceptibles d’être attaquées par le doryphore.

La barrière écologique du lin est d’une efficacité étonnante.

Vous pouvez récolter facilement les graines de lin pour les réensemencer l’année suivante dans votre nouveau carré de pommes de terre et travailler ainsi en circuit fermé.

Le lin est, en outre, une jolie et élégante fleur qui apporte une note de couleur et de fraîcheur dans le potager.

 

                                                                                                                               

 

 

Qui a expérimenté les EM (micro-organismes efficaces) en jardinage ?

 

C’est le professeur d’agronomie japonais, Teruo Higa, qui a mis au point une combinaison de plus de 80 espèces différentes de bactéries, levures et champignons capables d’améliorer substantiellement l’équilibre microbien d’un milieu vivant (sols, eau, compost en particulier) ; ce mélange de micro-organismes aérobies et anaérobies est appelé EM (« Efficient Microoganism ») et est utilisé en agriculture, jardinage, protection de l’environnement, traitement des déchets et même santé.

Personnellement je souhaite employer les EM dans mon jardin mais je n’en ai aucune expérience. Je sais simplement qu’on les utilise par arrosage et pulvérisation sur les plantes, les fleurs et les fruits ainsi que pour accélérer le compostage des déchets organiques.

Je fais donc appel à ceux qui connaissent et emploient ce produit pour donner des informations utiles à son sujet, de manière à les partager. D’avance, merci.

Me faire parvenir ces informations à l’adresse suivante : fleurdevie57@neuf.fr

 

Expérience d’utilisation de coquilles Saint-Jacques en jardinage

 

Je viens partager avec vous une expérience que je viens de commencer, au jardin, ce jour, le mardi 9 juin 2009, et qui consiste à utiliser le pouvoir énergétique des coquilles Saint-Jacques (vides, bien sûr !), pour harmoniser un endroit du sol qui présente une carence manifeste.

Voici le compte-rendu synthétique de cette expérience :

J’ai semé, début mai, 4 rangs de haricots verts. J’ai rapidement constaté, d’abord, qu’en fin de chaque rangée, les graines avaient des difficultés à germer et que la levée, plus tardive qu’ailleurs, était également moins fournie, et qu’ensuite la croissance des plants était plus lente et que ceux-ci n’atteignaient pas une taille normale. Conclusion : sur la bande de terrain concernée, soit il y a un problème tellurique (mais peu probable puisque non observé les années précédentes), soit la zone est affectée par le terrain mitoyen (non cultivé, il s’agit d’une prairie arborée d’arbres fruitiers), soit le sol est appauvri pour une raison indéterminée (explication peu plausible, surtout sur un rectangle bien délimité, sans particularité), soit il y a une raison qui m’échappe complètement (hypothèse probable !).

Je me suis dit qu’il fallait intervenir pour que cette bande de terrain retrouve sa vitalité. Je suppose qu’il existe bien des solutions pour remédier à ce type de situation. La mienne peut sembler curieuse et je pense que peu  voire pas de jardiniers l’ont utilisée : mettre en place des coquilles Saint-Jacques sur la bande de terrain pour la revitaliser.

J’ai procédé de la façon suivante :

En fin de chaque rangée, entre 2 poquets de haricots, j’ai posé une coquille Saint-Jacques, face concave vers le sol, éventail orienté au nord ; entre 2 rangées, j’ai décalé l’emplacement de la coquille d’un poquet, de sorte que, pour 3 rangées contigües, les coquilles soient disposées en triangle.

Reste à voir ce qui va se passer…

Pourquoi avoir fait appel à des coquilles Saint-Jacques ? Tout simplement parce que, en dehors de leur symbolisme bien connu (référence aux pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle), les coquilles Saint-Jacques sont de véritables et puissantes ondes de forme qui émettent une vibration fortement positive (facilement décelable par la radiesthésie) et purificatrice ; elles sont la représentation symbolique et géométrique du Vivant, de l’univers au microcosme. Elles ont des vertus bénéfiques universelles et rayonnent des forces d’harmonie et de guérison.

Quelles précautions faut-il prendre pour assurer la réussite de l’expérience ? A priori, il convient essentiellement de veiller au positionnement et à l’orientation des coquilles ; je me suis fait conseiller à ce sujet : concavité vers le sol et éventail de chaque coquille orienté au nord magnétique, mais ce choix est forcément subjectif et demande à être validé.

Cette « recette » ne figure sûrement pas dans un manuel de jardinage et je sais qu’elle ne manquera pas de faire sourire certains. Si elle vous intrigue, faites comme moi, vérifiez et tenez-moi au courant des résultats que vous aurez obtenus !

 

coquille Saint-Jacques, jardinage
coquille Saint-Jacques, jardinage

4 juillet : "Apparemment", les coquilles Saint-Jacques ont été efficaces puisque les haricots concernés par ce dispositif ont pratiquement rattrapés leur retard sur les autres et commencent à produire. Toutefois, cet essai n'a pas été fait dans des conditions "scientifiques" et ne peut donc être validé formellement. En outre, il faudra le répéter plusieurs fois pour être catégorique sur son efficacité.

Pour l'instant, disons qu'il est encourageant et à retester lorsque l'occasion se présentera...

 

Le purin d’ortie  

 

Le purin d’ortie est improprement appelé purin mais, comme c’est un terme ancré dans le langage commun, je continuerai de le nommer ainsi dans le présent article. En fait, nous devrions parler d’extrait fermenté d’ortie.

 

Fabrication et conservation

Pour le fabriquer, il vaut mieux utiliser de l’eau de pluie que de l’eau du robinet, à une température comprise entre 15 et 25°C .Si vous prenez de l’eau du robinet, laissez- là dans un seau en plastique, non fermé, pendant 3 ou 4 jours, et brassez-là de temps en temps, de manière à évacuer le chlore qu’elle contient ; en outre, si votre eau est relativement calcaire, ajoutez lui du vinaigre d’alcool, à raison de ¼ litre pour 30  litres d’eau. Prévoyez une poubelle en plastique bien dimensionnée, nettement plus grande que ce qu’elle aura à contenir, plus haute que large (par exemple, de 60  litres pour 40  litres ou moins de préparation)

Mettre dans votre poubelle des orties fraîches coupées,  au moment de leur pleine croissance, mais avant leur floraison. On remplit d’eau, dans la proportion de 10  litres pour 800  grammes d’orties.

La poubelle est placée dans un local pas trop éclairé ni trop chaud, par exemple dans un garage ou un cellier, avec le couvercle posé dessus (mais surtout pas étanche). En principe, la fermentation démarre assez rapidement, mais elle est évidemment d’autant plus rapide que la température est élevée. Il faut alors brasser cette préparation, chaque jour, durant plusieurs minutes, en s’assurant qu’il y a bien une remontée des bulles de fermentation ; normalement, la fermentation s’achève au bout d’une quinzaine de jours, mais elle peut être terminée, s’il fait très chaud,  au bout de 5 jours, ou, au contraire, si la température est assez basse, au bout d’un mois . Il faut surveiller ce moment  où l’effervescence caractéristique de la fermentation prend fin car il convient, dans les 2 jours suivants (et moins s’il fait chaud), pour éviter qu’il entre en putréfaction, de soutirer le liquide en vue de l’utiliser ou de le stocker.

Pour réduire fortement l’odeur désagréable de l’extrait, vous pouvez ajouter à votre préparation, au 5ème jour de fermentation, soit une poignée de feuilles d’angélique ou de sauge officinale hachées, ou encore une poignée de poudre de roche basaltique,  pour 10  litres d’eau.

Il faut filtrer le liquide soutiré soit avec un tamis, soit avec une passoire, soit encore avec un morceau de vieux drap, en veillant toutefois à ce que le filtrage ne soit pas trop  fin car cela serait nuisible à la qualité de l’extrait. Néanmoins, le filtrage doit permettre d’utiliser le purin sans risquer de boucher les buses du pulvérisateur et il faut donc qu’il soit assez fin…

L’extrait est alors prêt pour être utilisé ou stocké. Pour le stockage, il convient d’employer un récipient en plastique ou en inox fermé (par exemple, un cubitainer à vin) et de le mettre à la cave, à l’abri de la lumière ; il arrive que l’extrait se remette à fermenter et gonfle le récipient de stockage : il suffit alors d’ouvrir le récipient pour purger et de refermer. Un extrait se conserve, en général 1  an , à condition de ne pas en prélever dans le récipient de stockage ; sinon, la conservation n’excède pas 2 mois.

 

Utilisation

Il est employé pour accélérer la germination des semences en les trempant, au maximum, une demi-heure, dans de l’extrait pur.

Il est également utilisé, dans une dilution à 20%, dans le pralinage des arbres et arbustes fruitiers ou décoratifs à racines nues, à planter.

De même, il est particulièrement indiqué de faire tremper, dans une dilution à 20%, les plants de légumes (tomates, poireaux, choux, aubergines,…) et de fleurs (œillets d’inde, géraniums, fuchsias, …), durant une demi-journée.

Il constitue, en dilution à 10%, un très bon insecticide naturel, notamment contre les pucerons, mais il faut renouveler fréquemment les pulvérisations.

Il a une action vivifiante qui favorise la croissance végétale.

 

Quelques remarques

L'ortie s'utilise également, avec profit, en décoction (on la fait bouillir), en infusion, en macération à froid et ...fraîche ( simplement coupée  ou hachée et mise en place avant plantation).

Par ailleurs, l'ortie n'est pas la seule plante employée en extrait fermenté ou en décoction ; ainsi, la prêle des champs et la ciboulette qui rendent de grands services dans la lutte contre les maladies cryptogamiques, la capselle bourse à pasteur pour régénérer des sols maltraités, l'absinthe et la tanaisie comme répulsif contre les insectes nuisibles, la bardane comme fongicide, la consoude comme stimulant de la croissance végétale, l'euphorbe épurge comme répulsif sur campagnol et taupe, la fougère et la lavande pour leurs propriétés insectisides et répulsives, etc.La pharmacopée du Bon Dieu est infinie...

 

Le saviez-vous ? Il ne faut jamais jardiner le vendredi et le samedi de la semaine sainte !

 

Les expériences menées, durant plusieurs dizaines d’années, par quelques chercheurs en agriculture et jardinage biologique, ont montré, année après année, que les semis ou les travaux de plantation, effectués durant la période allant du matin du vendredi saint au matin du dimanche de Pâques (au lever du soleil), donnaient SYSTEMATIQUEMENT de mauvais résultats :  les graines lèvent mal, ont du mal à croître et le rendement est déplorable ; les plants que l’on transplante ont du mal à s’enraciner et à s’installer, leur croissance est difficile, beaucoup deviennent malades ou meurent et la récolte est mauvaise.

Les curieux (et les moins curieux) vont me demander : Pourquoi ? J’avoue ne pas pouvoir répondre à cette question épineuse…tout au moins aux cartésiens. A ceux qui sentent qu’une explication à caractère métaphysique est probable, je dirais que, peut-être, subsiste l’influence et l’empreinte de ce qui eut lieu il y a plus de 2 millénaires entre le soleil et la terre…

Quoiqu’il en soit, je vous déconseille de jardiner sur cette période de 2 jours.

jardinage, bio
lavande

 

Comment cultiver les tomates ? Comment éviter qu’elles soient malades ?

 

Pendant longtemps, j’ai cultivé les tomates comme l’enseignent les guides potagers, sauf que j’ai toujours évité les engrais et les traitements chimiques (en partie, mais pas d’une façon absolue). Mes pieds de tomate étaient, en général, bien charpentés, vigoureux et exempts de maladies pendant une grande partie de leur croissance. A un certain stade de développement, j’enlevais régulièrement les « gourmands » et taillais les pieds. Je constatais que le mildiou commençait bientôt à s’installer sur les plants mais je ne faisais pas de lien entre la taille et la venue de cette maladie ; bien plus, influencé en cela par les manuels de jardinage, je considérais que, pour freiner le développement du mildiou, il fallait tailler fréquemment. Je faisais des traitements périodiques à la bouillie bordelaise. Mais force me fut de constater que lorsque le mildiou s’étendait et s’accroissait considérablement, c’était toujours au lendemain d’une taille. J’en vins donc à me poser la question suivante : la taille est-elle utile et, surtout, n’est-elle pas nocive ? Car enfin, je n’ai pas d’autre exemple de plante potagère à laquelle on fait subir une telle agression ! Et puis le tuteurage n’arrange rien : il blesse les plantes et les oblige à croître ligotées et forcées quant à leurs positions.

Ce constat m’a amené à m’affranchir des conseils et des méthodes culturales de l’agronomie orthodoxe. Voici comment je procède maintenant :

-à la plantation : au fond du trou qui va recevoir le plant, je dispose des orties fraîchement cueillies, sur un bonne épaisseur, les recouvre d’une abondante couche de compost (que je fais moi-même) et ajoute 20g d’un engrais bio tomate.

-quand les pieds sont suffisamment développés, je les tuteure à minima et les soutiens par des cageots que je place sous et autour des pieds (il faut 2 à 3 cageots par pied).

-je les pulvérise régulièrement à la bouillie bordelaise.

-je les arrose peu voire pas du tout (il est vrai que mon terrain est argileux).

-je ne les taille pas du tout ; je déplace simplement les cageots en fonction du développement des pieds pour les soutenir le mieux possible  et éviter que des branches traînent par terre (le vent bouscule les branches qu’il faut donc replacer de temps en temps).

Les résultats ont dépassés mes espérances : les pieds restent très vigoureux durant tout l’été et le mildiou ne commence à s’installer qu’en toute fin de saison, sans se propager. La récolte est extrêmement abondante tant en quantités, qu’en taille et en qualité gustative. Les « cœurs de bœuf » ont dépassé, souvent, le kg par fruit et leur goût a approché la perfection. Nous avons, tout l’été 2008, approvisionné, en tomates,  nos voisins qui s’émerveillaient de cette récolte quasi-miraculeuse (ne croyez pas que j’exagère).

Je précise qu’en général ma femme fait les plants elle-même, soit en jardinière, à la maison, soit sous châssis vitré.

Je suis à la disposition de ceux qui souhaiteraient obtenir des renseignements complémentaires sur cette façon de cultiver les tomates.

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Pieds de tomate soutenus par des cageots
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Tomates sous tepee

Oui, je sais, ce n'est pas très conventionnel, de planter 3 pieds de tomates en triangle, soutenus par des cageots et des piquets réunis en tepee, le tout au milieu d'un pré ! mais, moi, j'aime bien !

 

La MINEUSE, NOUVEAU RAVAGEUR DES POIREAUX

 

Personne n’a répondu à mon appel pour donner un remède biologique efficace pour venir à bout de ce nouveau ravageur des poireaux, venu des pays de l’Est, et qui s’appelle «  phytomyza gymnostoma », et dont le nom populaire est la « mineuse » ; il s’agit d’une petite mouche grise, à la tête jaune, qui pond, deux fois par an (au printemps et à l’automne) des œufs sur le blanc du poireau. Les larves qui en résultent creusent de nombreuses mines dans les poireaux, d’où leur nom. Les pauvres poireaux sont tellement ravagés que cela en conduit un grand nombre à la mort ; quand aux autres, ils sont en piteux état.

Le problème est qu’il n’y a actuellement aucun remède connu, tant chimique que biologique,  pour lutter efficacement contre ce parasite (mouche ou ver). Il faut donc  prendre des mesures préventives qui, en suivant le simple bon sens, pourraient être, dans un premier temps, les suivantes :

-détruire systématiquement les poireaux attaqués et, ce, le plus tôt possible ; surtout ne pas les mettre à composter.

-changer de place les poireaux chaque année.

-mettre en place, sur les poireaux, des filets fins de protection avant les périodes de ponte (qui se situent, à peu près, en avril et fin août) ; des filets de forçage devraient faire l’affaire.

-essayer un remède naturel à base d’extrait de plante : soit, des pulvérisations  d’une solution diluée d’extrait fermenté de Rue (Ruta graveolens), soit des pulvérisations de décoction de Consoude (Symphytum officinalis), soit des pulvérisations  d’une solution, non diluée, d’extrait fermenté ou d’infusion de Tanaisie (Tanadetum vulgare), soit d’une combinaison de celles-ci, ces différentes plantes étant connues pour leurs propriétés répulsives des mouches ou (et) abortives ou (et) stimulatrices des défenses végétales. Mais il s’agit de pistes et d’essais dont l’efficacité contre la mineuse reste à démontrer.

N’hésitez pas à faire part de vos expériences et de vos constatations pour que d’autres puissent en profiter. D’avance, merci.